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Les pistes de la Mutualité des AC

Accoucher de la Mutualité des Acteurs Chorégraphiques pour concrètement et pragmatiquement prendre part aux choix et décisions qui nous concernent.

Nous avons toutes et tous des propositions, des améliorations et des paroles à porter dans la politique chorégraphique nationale ! Aujourd'hui les seuls organes qui participent, rapportent et proposent auprès des tutelles sont SystèmeD(anse)Chorégraphes Associè.e.sl'ACCN, l'A-CDCN, LAPAS, Syndeac groupe Danse... Êtes-vous suffisamment représentés par ces organisations ? N'avez-vous pas des améliorations, aménagements, amendements, apports, arrangements, avancements, bonifications, changements, corrections, évolutions, fertilisations, issues, mieux, mises au point, modifications, modus vivendi, normalisations, optimisations, perfectionnements, progrès, ravalements, réformations, réformes, régénérations, rénovations, réparations, retouches, révisions, transformations... à proposer pour une politique chorégraphique sociale et solidaire ?
Les premières pistes et chaussées pour la Mutualité des AC proposées par les coopérateurs :
 Collège danseur-interprète  : Parce qu'ils sont nos frères et nos sœurs de sueur et d'échardes dans les coussinets, de ménisques et de disques usés... Nous souhaitons : 1/ des décideurs pour la danse issus de nos rangs2/ une attention constante à ne pas opposer les esthétiques, et admettre la pluralité3/ des choix et une gestion ancrée dans la réalité des territoires4/ la fin de l'opposition entre création et transmission5/ l'abolition d'un carcan ministériel sur LES pédagogies de la danse6/ la reconnaissance du parcours d'interprète ou de créateur dans la transmission des danses, 7/ une politique active pour augmenter les salaires des danseurs, des professeurs et des chorégraphes : Imposer un plancher salarial, 8/ lutter contre la surexploitation des danseurs, les conventions collectives ne suffisent pas à les protéger des lubies de chorégraphes eux-mêmes sous pression. 
 Collège chorégraphe  : Parce qu'ils sont les initiateurs et porteurs centraux des utopies chorégraphiques... 9/ la fin de l'obligation de créer une pièce par an pour progresser sur l'échelle des subventions, 10/ les aides à la diffusion à hauteur des aides à la création, 11/ la reconnaissance de la diffusion des œuvres dans l'évaluation des artistes, 12/ la compréhension et la transparence des critères d'obtention des aides aux cies et aux structures, à tous les étages : DRAC, conseils régionaux, départementaux, métropoles et villes, 13/ la reconnaissance institutionnelle de toutes les démarches de chorégraphes atypiques et transdisciplinaires autour du mouvementqui impliquent des danseurs.
 Collège représentativité  : Parce qu'elle est l'expression nécessaire d'une démocratie réelle... 14/ Participer aux décisions concernant la politique de la danse en proposant des représentants du secteur chorégraphique au sein des diverses commissions qui statuent sur la danse: DRAC, Conseils régionaux, syndicats, comités d’experts, comités d'orientation pédagogiques, jury DE et CA, etc… 15/ Imposer la présence d’observateurs garants de l’équité des décisions dans les commissions d’experts d’évaluation des DRAC, veiller aux conflits d’intérêt et à l'expression de la pluralité des points de vue. 
 Collège stratégie et coordination  : Parce qu'elles sont les 2 mamelles de la force... La Mutualité des AC pour Penser ensemble les politiques à partir du terrainOrganiser et participer à des évènements fédérateurs au delà du cercle artistique. Travailler le social, le politique, l'intelligence collective.


La Mutualité des Acteurs Chorégraphiques
c'est une organisation où chaque Acteur Chorégraphique peut se sentir réellement représenté dans l'(en)commun et apporter ses contributions et propositions sur tous les sujets, dans le respect de la personnalité de chacun,
c'est aussi le meilleur moyen de faire circuler, affluer, se déplacer les informations importantes, notamment les mécanismes des politiques artistiques & chorégraphiques. Les mouvements et mises en oeuvre de la place de la danse et de l'art dans la société, mais surtout de la place de la société dans la vie de l'artiste,
c'est, au mieux, la manière équitable, intègre et judicieuse de "représenter et présenter" la pluralité qui est la nôtre, et permettre d'apporter des propositions légitimes et rationnelles auprès de nos coproducteurs, collectivités, tutelles et élu(e)s,
c'est une initiative de ré-appropriation citoyenne dans l'organisation de la vivacité et pluralité dansante, surtout pas une structure clivante et/ou jugeante comme nous en avons tant l'habitude dans le secteur chorégraphique : T'as compris le coup ! Après j't'explique ! Elie Kakou
c'est une structure qui permet d'agir et influer sur les nécessaires améliorations, des nombreux points, sujets, dispositifs... (en) communs qui sont les nôtres, et cela pour la majorité des Acteurs Chorégraphiques dans leurs esthétiques, secteurs et spécificités professionnelles,
c’est une constellation, pôle de vigilance et force de propositions, pas un espace donneur de leçons ou tentant de devenir calife à la place du calife, mais a contrario un espace éclairant, nourrissant, circulatoire...
c'est un engagement à oeuvrer et défendre des opinions et perspectives territoriales et nationales des politiques chorégraphiques. Chaque territoire a son histoire, ses terrains et spécificités, le national, notre ministère de la culture émet les règles constituantes, nous devons y participer.
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